La matinée était déjà bien avancée et l'heure du retour était arrivée. Il aurait fait trop chaud à continuer et il fallait que je me repose.

En redescendant la vue magnifique m'attirait comme un aimant sauf qu'il fallait que je fixe la route, cette route tellement sinueuse en priant qu'une voiture ne vienne pas en face.

Je me suis arrêtée pour visiter un monument historique.

FIN

 A bientôt

J'arrive à la seconde partie de ma randonnée au cap Béar.

Comme je l'ai dit dans mon précédent article, j'ai découvert ce petit chemin qui mène à une crique, un petit bijou de la nature dont on ne peut accéder que par la mer ou ce chemin.

A suivre

Je suis partie à 7 h du matin, à la fraiche avec la ferme intention de parcourir le chemin de randonnée qui part de Port Vendres pour arriver au phare de Béar.

A peine fait quelques mètres, une douleur fulgurante à la jambe m'a fait renoncer à ce beau projet.

Je suis remontée en voiture énormément déçue et j'ai regardé comment je pouvais tout de même accéder au phare.

C'est donc en voiture que j'ai emprunté le chemin tortueux qui mène à ce phare et surtout permet d'en prendre plein les yeux de tant de beauté qu'offre la nature.

Ce sera la première partie de mon récit.

Puis j'ai découvert un chemin qui descend vers l'anse Ste Catherine. Ma jambe était reposée et après tout "qui ne tente rien n'a rien".

J'ai donc amorcé la descente sur un sentier pentu et caillouteux.

La vue époustouflante, la petite crique remplie d'un charme fou m'ont bien récompensée de ma souffrance.

Ce sera la seconde partie de mon récit.

Puis le retour en voiture par le même chemin où tu sais tu serres les fesses de peur de tomber dans le ravin !

Là je me suis arrêtée pour observer l'arrivée du vieux gréement Nao Victoria.

Ce sera le dernier article de cette randonnée bien matinale.

PREMIERE PARTIE

A suivre

Ce n'est pas le plus beau des lacs mais s'y promener tôt permet de se mettre en forme pour la journée.

Le panneau indiquant la direction de l'ermitage, je le voyais depuis l'année dernière, date de notre installation dans la région.

Je me permets de rappeler que nous vivons désormais 6 mois à Céret et 6 mois en Normandie.

Donc en fin de soirée de la semaine dernière, j'ai enfourché mon vélo et j'ai grimpé environ 5 kms de côtes en lacets heureusement atténués par l'assistance électrique de mon vélo.

Plus je prenais de la hauteur plus le panorama était magnifique avec vue sur les hauteurs de Céret et le Canigou.

Puis j'ai emprunté un chemin de terre et suis arrivée devant une chapelle datant du 13e siècle.

Jouxtant la chapelle se trouve une demeure qui appartenait à l'ermite.

 A bientôt